Dans cette partie, nous avons regroupé l'e-learning et l'ICT (Information and Communication Technology) qui consistent en différents types de communication avec les professeurs, assistants, et étudiants. Nous pensons également aux business games qui peuvent être exécutés en ligne, ainsi qu'aux méthodes d'apprentissages originales utilisant les nouvelles technologies de l'information.

Enseignement à distance: E-learning

p. 50 du rapport

Enseignement à distance: Virtual labs & products - Salle des marchés

p. 66 du rapport

Enseignement à distance: E-learning Open Courses

p. 53 du rapport

Enseignement à distance: E-learning 2.0

p. 56 du rapport

Enseignement à distance: Second Life

p. 57 du rapport

Enseignement à distance: Vidéoconférences

p. 58 du rapport

Simulations: Interactive Spreadsheets

p. 60 du rapport

Simulations: Branching Stories

p. 62 du rapport

Enseignement à distance: Game-based models

p. 63 du rapport

Enseignement à distance: Virtual labs & products

p. 65 du rapport

Nous avons regroupé sous cette première catégorie les méthodes pédagogiques utilisées pendant les cours traditionnels, et qui ont pour but de développer certains aspects réels de l’environnement entrepreneurial. Par exemple, nous pensons aux séminaires, études de cas, le mentorat et le bénévolat qui sont réalisés dans l’enceinte de l’université, ou encore le coaching des étudiants Bacheliers par des étudiants en Master, des business games, jeux de rôles, travaux en laboratoire, allocutions de personnes provenant du monde des entreprises, etc.

Apprentissage par problèmes (APP)

p. 17 du rapport

Apprentissage par projets (project-based teaching)

p. 21 du rapport

Apprentissage mixte problèmes et projets

p. 21 du rapport

Apprentissage par projets en équipes interdisciplinaires

p. 24 du rapport

Apprentissage par étude de cas (case-based teaching)

p. 24 du rapport

Mises en situations réelles au profit de l'université: Gestion de fonds d'investissements (à vocation sociale ou non) et/ou de capital à risque au profit de l'université

p. 27 du rapport

Mises en situations réelles au profit de l'université: Gestion d'une banque par les étudiants

p. 28 du rapport

Apprentissage par représentations fictives de la réalité

p. 30 du rapport

Inviter et inclure un grand nombre d'intervenants du monde de l'entreprise dans les cours

p. 32 du rapport

Rencontre avec des spécialistes de chaque domaine lors de la création d'un projet

p. 32 du rapport

La Solvay Brussels School of Economics and Management (SBS-EM), comme son nom l’indique, est l’école de commerce de l’Université Libre de Bruxelles (ULB), née en septembre 2008 de la fusion entre la Solvay Business School, et le département économique de l’ULB.

La nouvelle SBS-EM est devenue aujourd’hui l’entité la plus fréquentée du secteur en Communauté française, comptant plus de 2700 étudiants de 1er et de 2ème cycle, 51 professeurs à temps plein, 70 professeurs à temps partiel, 8 pôles de compétences et 3 centres de recherche. L’identité de la SBS-EM veut se concentrer autour de cinq atouts majeurs, qui se complètent et se renforcent mutuellement :

Aujourd’hui, la SBS-EM offre d’ores et déjà un portefeuille de curriculum diversifié, articulant l’économie et la gestion. Cependant, un des objectifs de la fusion est notamment de procéder à des décloisonnements dans les différents programmes existants, de renforcer l’offre de cours grâce aux synergies mises en place, et surtout de repositionner les Masters, afin de stimuler l’attractivité de la SBS-EM. Cette nouvelle entité mène ainsi au cours de l’année académique 2008-2009 une réflexion sur l’offre des programmes qu’elle propose, et sur la qualité pédagogique de ceux-ci. L’objectif de l’école est de d’offrir ses nouveaux programmes de Bacheliers et Masters pour la rentrée académique de septembre 2010.

Cette dernière catégorie rassemble les méthodes pédagogiques dites alternatives et originales, telles que, par exemple, passer une journée dans un sous-marin dans le cadre d’un cours de leadership, créer des partenariats avec des organisations comme l’armée, des entreprises, des ONGs..., utiliser les arts et la musiques, etc.

Développement de l'intelligence émotionnelle

p. 74 du rapport

Sensations légères

p. 77 du rapport

Compréhension et développement du leadership par les sensations forts

p. 77 du rapport

Compréhension des dynamiques de groupe et multiculturalité

p. 80 du rapport

Test de personnalité

p. 79 du rapport

Cette deuxième classe assemble les méthodes pédagogiques pratiquées à l'extérieur de l’université, et dont les objectifs sont de permettre aux étudiants d’être confrontés directement aux réalités du monde des affaires. Nous pensons par exemple aux stages ou placements en entreprise, aux summer schools, les missions de consultance, les participations à des conférences en dehors des cours ex-cathedra, le mentorat ou bénévolat en externe, etc.

Le stage en entreprise

p. 34 du rapport

Le mémoire-projet

p. 34 du rapport

Le stage ouvrier

p. 37 du rapport

Apprentissage par projets sociaux en entreprise

p. 37 du rapport

Apprentissage par projets sociaux dans les pays du Sud

p. 38 du rapport

Conférences

p. 41 du rapport

Espaces d'étude et de réunion

p. 44 du rapport

Participation à des business games en externe

p. 46 du rapport

Méthodologie Afin de nous plonger dans le sujet des bonnes pratiques et innovations en pédagogie universitaire, nous avons commencé par parcourir amplement la littérature sur le sujet, en passant par des papiers scientifiques sur les innovations dans l’éducation et l’enseignement international (Innovations in Education and Teaching International), des études et des revues des sciences de l’éducation, ainsi que des journaux sur le sujet (Journal of Management & Organization). Après avoir parcouru cet ensemble de document sur le sujet, et après avoir recensé les différentes méthodes pédagogiques utilisées, nous avons pu répartir celles-ci en quatre catégories définies ci-dessous : - Apprentissage en interne - Apprentissage en externe - Apprentissage par la technologie - Apprentissage expérientiel Une fois les catégories définies nous avons élaboré un questionnaire que nous avons envoyé à plus de 500 personnes dans le monde afin de connaître les méthodes d'apprentissage de chaque catégorie qu'elles ont rencontrées au cours de leur cursus. L’échantillon interrogé contenait des personnes de formations diverses, des connaissances ayant étudiées dans différentes universités et d'autres rencontrées lors de nos Erasmus respectifs. Au total, 65 réponses ont été collectées et traitées par nos soins. En complément de l'analyse de ces informations certaines méthodes d'apprentissage ont également été collectées dans les papiers scientifiques et par des recherches sur internet. Nous vous proposons dans les onglets suivants le prendre connaissance de la définition des catégories ainsi que des fiches individuelles reprenant les méthodes recensées. Bonne lecture !

PROBLÉMATIQUE DU TRAVAIL La problématique de notre travail se base sur la fusion récente entre les départements de la Solvay Business School et de Sciences économiques de l’ULB. Dans le contexte de la création de cette nouvelle entité, et afin d’être plus compétitif par rapport aux autres universités et écoles de commerce d’abord en Belgique, mais aussi à l’étranger, une réflexion sur l’offre de programmes ainsi que sur sa qualité des méthodes pédagogiques est nécessaire. OBJECTIF DE LA MISSION Notre mission a un double objectif qui consiste, premièrement, en la proposition d’une liste non exhaustive de bonnes pratiques et d’innovations en termes de méthodes pédagogiques, déjà appliquées dans les écoles d’économie et de gestion et dans les universités. Ensuite, il s’agit de sélectionner, parmi les pratiques rencontrées, les méthodes intégrables à la SBS-EM, et/ou celles que nous pensons les plus adaptables à notre école pour permettre à cette dernière de rester compétitive - en s’alignant sur les bonnes pratiques - et de se différentier-en innovant dans ses méthodes pédagogiques. Pour atteindre ce double objectif, il est important de garder en tête certains éléments clés. Tout d’abord, il est essentiel que notre analyse de la littérature soit minutieuse, afin de comprendre au mieux ce qui se fait dans les grandes écoles, partout dans le monde, et pour pouvoir comprendre les différents avantages et inconvénients de telles méthodes. Cependant, il est impossible de fournir une certaine exhaustivité dans la sélection de ces bonnes pratiques et innovations rencontrées, puisqu’il en existe énormément, et que seules certaines sont applicables chez nous. Finalement, nous devons préciser le fait que nos choix et décisions doivent rester en alignement avec les desideratas du client.

Propositions concrètes

Bonnes pratiques et innovations

La SBS-EM